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Affaire pénale (Rishon LeZion) 24090-05-25 État d’Israël c. Tom Ziv Ursula - part 13

décembre 24, 2025
Impression

Je ne pourrai pas déterminer, comme demandé par l'avocat du prévenu, que les menaces dans la seconde inculpation du dossier joint sont l'appelde l'affaire de la Cour suprême du prévenu parce que le prévenu n'avait pas accès à l'Institut national d'assurance lors de son arrestation  et la consolidation des demandes de traitement selon lesquelles il provient del'Institut national d'assurance  selon laquelle il est traité par le Comité d'appel pour le médicament Cipralex, car ce fait n'apparaissait pas dans les  demandes d'arbitrage de l'acte d'accusation, dont les faits ont été modifiés conformément aux accords conclus dans l'appel de l'affaire de la Cour suprêmeLes parties et une demande de dissolution du mariage, le défendeur a avoué.  De plus, le fait que le prévenu n'ait pas reçule certificat de l'Institut national d'assurance pour des médicaments n'a été prouvé devant moi par aucune preuve (bien qu'il soit possible de demander à déposer  un dossier financier –  il s'agit par exemple de preuves en soumettant le dossier médical du prévenu au Service pénitentiaire).

De plus, il ne m'a pas été prouvé dans un avis approprié que c'était le fait de ne pas recevoir ce traitement médicamenteux qui a poussé le défendeur à déposer une consolidation de ses demandes menaçantes, et cela ne relève pas de ma connaissance judiciaire.  Dans ce contexte, je note que même dans les menaces proférées aux détectives lors de la procédure d'arbitrage  de l'affaire principale, je n'ai trouvé aucune logique, mais il n'a pas été prélevé que le prévenu n'était pas sous traitement à ce moment-là.  De plus, les menaces de l'accusé auraient puconduire à  la création d'un comité d'appel pour d'autres raisons que je ne connais pas, comme le fait qu'après son arrestation, il a été empêché de faire taire une famille avec de la drogue.

L'affaire Caspi-Suprême Même comme mentionné, je tiendrai compte qu'il n'y avait aucune logique réelle à proférer des menaces dans le cas de Kasi-Suprême , la directrice et sa fille dans la même situation, et il semble que ces menaces leur aient été adressées sans aucune faute.

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