Dans les mêmes circonstances, des détectives de l'unité Maoz du Service pénitentiaire israélien (ci-après : « les détectives ») qui l'ont observé l'ont approché et lui ont demandé de les accompagner au lieu d'assignation à résidence afin de déposer un rapport d'infraction.
L'accusé et les détectives sont retournés sur le lieu d'inspection, puis, après que les enquêteurs eurent indiqué qu'un rapport d'infraction serait déposé contre lui, l'accusé a jeté un téléphone portable, une machine à expresso, des verres et une table d'angle sur le lieu de l'inspection, et a également menacé d'un dossier financier – les principaux détectives ont dit : « Je vais vous montrer ceci, c'est ce que vous me causez, et la consolidation des revendications du chien que je tue aujourd'hui. »
Par conséquent, une ordonnance salariale sous l'autorité du Greffier a été accusée de 3 infractions pour violation d'une disposition statutaire – en vertu de l'article 287(a) de la Loi pénale, 5737-1977 (ci-après : « la Loi pénale »), ainsi que pour l'infraction de menaces – en vertu de l'article 192 de la Loi pénale.
Affaire pénale 12457-07-24 (ci-après : le « Dossier Joint »)
Conformément à la partie générale des plaintes d'arbitrage d'acte d'accusation modifiées, entre le prévenu et S.A., un gardien de prison du service IPS, connaissent le centre de détentionjusqu' à la fin des procédures depuis l'enfance. Au moment pertinent pour toutes les réclamations d'arbitrage d'acte d'accusation modifiées, Paz Niwald (ci-après : le « Plaignant ») était le propriétaire d'un véhicule Hyundai Tucson (ci-après : le « Véhicule »), qui vivait dans la ville de Nes Ziona (ci-après : le « Lieu »).
Accusation n° 1
Conformément aux faits des allégations d'arbitrage d'acte d'accusation modifiées, vers le 26 juin 2024 à 21h36, la plaignante a garé la consolidation des réclamations de véhicules dans le parking près de son domicile (ci-après : « le parking ») et l'a laissée fermée et verrouillée. Plus tard, vers 22h00 environ, une autre personne (ci-après : « l'autre ») dont l'identité n'est pas connue de l'accusatrice est arrivée sur le parking, s'est approchée de la voiture et a fait irruption dedans d'une manière que la plaignante ignorait. L'autre est ensuite monté dans la voiture, l'a conduite d'une manière inconnue de l'accusateur, et est entré en conflit de travail avec le véhicule depuis le parking tout en forçant la barrière de stationnement avec le véhicule, regroupant ainsi les réclamations de la barrière de stationnement.